En voici le résultat.
La douleur est une des choses les plus importantes de ma vie. Le mot « écrit » ne conviendrait pas. Je me suis trouvée devant des pages régulièrement pleines d’une petite écriture extraordinairement régulière et calme. Je me suis trouvée devant un désordre phénoménal de la pensée et du sentiment auquel je n’ai pas osé toucher et au regard de quoi la littérature m’a fait honte.
Une auteure dont j’entends parler pour cause d’un fanatisme aigu envers le groupe Indochine (je te rassure, depuis, je me suis calmée mais j’aime toujours le groupe, ne me jette pas de tomates).
Une curiosité grandissante pour des romans que je crains d’ouvrir, étant, à 15 ans, plutôt habituée à dévorer Stephen King. La Douleur, c’est avant tout la découverte d’une plume, de ces saccades d’idées, ces assemblages singuliers. De l’histoire, j’en retiens un bref résumé. Ce livre, c’est le premier pas vers mon amour des plumes singulières, cette recherche constante d’une touche particulière dans les mots.
Je ne connaissais pas 🙂
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Je connais très peu l'autrice, mais je trouve ton choix intéressant 🙂
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je crois que je n'ai encore jamais lu du Marguerite Duras, à essayer
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