Second volume d’un manga dont j’en ai apprécié la trame, mais dont la fin du premier tome m’avait laissé un peu perplexe (Dog End tombant dans ce cliché de personnages féminins semblant être évadés d’un hentai).
On retrouve à nouveau nos protagonistes, à savoir Mana, Hatori, et Wakatsuki. Un trio de bras cassés, une bande sur laquelle on ne parie pas un kopeck concernant leur survie, mais après tout, ils semblent s’en sortir à chaque fois… ou presque.
Ce tome abandonne un peu l’inspecteur (Hatori), pour laisser place à la petite Mana Jingu, héritière d’un empire mafieux, dont on avait à peine effleuré la personnalité dans le premier tome. Ici, elle est mise en avant, formant un duo étonnant avec Wakatsuki (Black Dog). Les voilà embarqués dans une périlleuse mission ; trouver un antidote pour l’inspecteur.
L’histoire est toujours portée par de nombreuses scènes d’actions. Un dessin qui n’est pas brouillon et permet de bien cerner les différentes expressions.
Ce tome met en avant tout l’héritage familial de la petite Mana, et surtout du danger qui plane au-dessus de son crâne et ses frêles épaules. Un tome de transition, qui laisse envisager de belles frictions pour la suite.